Une vie nourrie de passion - À la rencontre d'Alexandre Chapellier

Alexandre
30 septembre 2024
30 septembre 2024
Chez Maicshine, l'expérience cycliste et la sécurité de tous les cyclistes sont au cœur de nos préoccupations. Aujourd'hui, nous avons l'honneur d'interviewer un ambassadeur de la marque MS, un vététiste exceptionnel qui non seulement conquiert des sentiers difficiles, mais incarne aussi l'esprit d'aventure et la persévérance du VTT. En tant que marque vététiste engagée à améliorer l'expérience cycliste de tous les passionnés grâce à des éclairages de haute qualité, nous sommes convaincus que comprendre les points de vue et les expériences de cyclistes comme Alexandre est précieux. Alors, sans plus attendre, plongeons dans l'univers du VTT et écoutons Alexandre parler de son parcours, de ses défis et de l'importance de la sécurité à vélo.


1. Contexte et expérience
Magicshine : Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours personnel, depuis combien de temps roulez-vous (combien d'années) et comment vous êtes arrivé au VTT ?
Alexandre : J'ai 29 ans et je suis originaire du Sud-Ouest de la France. J'habite maintenant à North Vancouver, en Colombie-Britannique. Je fais du vélo depuis 19 ans déjà ! Personne dans ma famille ne fait de VTT. J'avais juste cette passion en moi. Je me souviens avoir vu un gars faire des roues arrière dans un camping quand j'avais 9 ans. J'étais fasciné. À ce moment-là, j'ai su. Je voulais un vélo avec des freins à disque, comme lui. C'est là que tout a commencé.
J'ai fait du cross-country de 10 à 13 ans. J'ai toujours aimé sauter et aller vite. Je me suis naturellement mis au dirt jump à 13 ans et j'ai commencé la descente, sur mon vélo DJ… La montagne la plus proche était le Pic du Jer, à Lourdes. Ce dernier a ensuite accueilli l'un des parcours les plus sauvages de la Coupe du monde de descente. C'est là que j'ai tout appris (et que j'ai beaucoup chuté… !). Sur un semi-rigide, je devais rouler avec fluidité et trouver de bonnes trajectoires. C'est un élément essentiel de ce qui a fait de moi le rider que je suis aujourd'hui.
À 15 ans, j'ai reçu mon premier vélo tout suspendu, grâce au soutien de Banshee Bikes. J'ai rapidement commencé à faire de la descente et de l'enduro.
Magicshine : Qu'est-ce qui vous a poussé à pratiquer le VTT à un niveau compétitif ?
Alexandre : Prendre du plaisir à vélo a toujours été ma principale motivation. Au fil des années, je me suis lancé dans la descente et l'enduro. Mes courses préférées étaient les courses d'enduro mass start, comme la Montagne de l'Enfer aux 2 Alpes ou la Maxiavalanche en Andorre.
Magicshine : Je sais que tu roules aussi en gravel. Peux-tu nous dire quel est ton ratio temps route/gravel/VTT ? Par exemple, le VTT représente 60 % ? Ou même plus ?
Alexandre : Le VTT représente environ 80 % de mon temps de pratique. Être en forêt, avec des amis, et m'éclater sur les sentiers de VTT est une sensation incroyable. J'adore cependant varier les plaisirs et enfourcher mon vélo gravel. Que ce soit pour une boucle en ville, une vraie sortie gravel, ou même parfois pour me retrouver sur des sentiers de VTT. J'apprécie vraiment le défi de rouler vite sur un vélo gravel sur un sentier technique. Il faut être très fluide et trouver les meilleures trajectoires. Il n'y a pas de place pour l'erreur. Et tout semble tellement plus rapide, ce qui est super amusant.
Alexandre : J'ai 29 ans et je suis originaire du Sud-Ouest de la France. J'habite maintenant à North Vancouver, en Colombie-Britannique. Je fais du vélo depuis 19 ans déjà ! Personne dans ma famille ne fait de VTT. J'avais juste cette passion en moi. Je me souviens avoir vu un gars faire des roues arrière dans un camping quand j'avais 9 ans. J'étais fasciné. À ce moment-là, j'ai su. Je voulais un vélo avec des freins à disque, comme lui. C'est là que tout a commencé.
J'ai fait du cross-country de 10 à 13 ans. J'ai toujours aimé sauter et aller vite. Je me suis naturellement mis au dirt jump à 13 ans et j'ai commencé la descente, sur mon vélo DJ… La montagne la plus proche était le Pic du Jer, à Lourdes. Ce dernier a ensuite accueilli l'un des parcours les plus sauvages de la Coupe du monde de descente. C'est là que j'ai tout appris (et que j'ai beaucoup chuté… !). Sur un semi-rigide, je devais rouler avec fluidité et trouver de bonnes trajectoires. C'est un élément essentiel de ce qui a fait de moi le rider que je suis aujourd'hui.
À 15 ans, j'ai reçu mon premier vélo tout suspendu, grâce au soutien de Banshee Bikes. J'ai rapidement commencé à faire de la descente et de l'enduro.

Alexandre : Prendre du plaisir à vélo a toujours été ma principale motivation. Au fil des années, je me suis lancé dans la descente et l'enduro. Mes courses préférées étaient les courses d'enduro mass start, comme la Montagne de l'Enfer aux 2 Alpes ou la Maxiavalanche en Andorre.
Magicshine : Je sais que tu roules aussi en gravel. Peux-tu nous dire quel est ton ratio temps route/gravel/VTT ? Par exemple, le VTT représente 60 % ? Ou même plus ?
Alexandre : Le VTT représente environ 80 % de mon temps de pratique. Être en forêt, avec des amis, et m'éclater sur les sentiers de VTT est une sensation incroyable. J'adore cependant varier les plaisirs et enfourcher mon vélo gravel. Que ce soit pour une boucle en ville, une vraie sortie gravel, ou même parfois pour me retrouver sur des sentiers de VTT. J'apprécie vraiment le défi de rouler vite sur un vélo gravel sur un sentier technique. Il faut être très fluide et trouver les meilleures trajectoires. Il n'y a pas de place pour l'erreur. Et tout semble tellement plus rapide, ce qui est super amusant.

2. Expérience cycliste
Magicshine : Quel est votre événement ou course cycliste le plus mémorable ? Pourquoi l'avez-vous particulièrement apprécié ?
Alexandre : C’est une bonne question. J’ai vécu de nombreux moments mémorables au fil des ans. Le plus mémorable est probablement l’un de mes premiers, lors de la descente d’Accous dans le sud-ouest de la France, à 14 ans. À l’époque, je n’avais qu’un vélo de Dirt Jumper que j’avais modifié. J’y avais ajouté un frein à disque avant, des pneus de descente et une fourche pneumatique Marzocchi DJ 2 pour pouvoir réduire la pression en descente.
Il a plu tout le week-end. La terre dans cette région de France est tellement glissante quand elle est mouillée, et la piste était complètement défoncée. C'était un défi incroyablement amusant, surtout sur un vélo de DJ. Seul problème : je n'avais pas assez de dégagement au cadre lorsque mon pneu arrière était plein de boue. Je devais m'arrêter pour le nettoyer toutes les deux ou trois minutes pendant l'entraînement. La seule solution que j'ai trouvée : voler le pneu arrière du vélo de ma mère, un Schwalbe Marathon en largeur 1,75. Avantages : il laissait suffisamment de place pour dégager la terre et ne pas rester coincé. Inconvénients : aucune adhérence sur la plupart des dévers graisseux de la piste Accoud DH. Ma course s'est terminée en catastrophe. Aucune adhérence. Nombreuses chutes, dont une sortie de piste épique dans le dernier jardin de rocailles devant une foule en liesse. C'est un souvenir tellement pénible. Je suis reconnaissant de rouler sur des VTT tout suspendus maintenant !
Magicshine : Comment vous préparez-vous pour une grande course ou une randonnée difficile ?
Alexandre : Je suis généralement assez détendu pour préparer ce genre de sorties. Faire confiance au processus et me laisser porter par le courant est mon principe de base. Bien sûr, il est important de s'assurer que mon vélo fonctionne bien. Mais c'est souvent le cas, même lors de sorties plus occasionnelles. Mentalement, cette approche me permet de rouler l'esprit clair, concentré et de prendre du plaisir sur le vélo. C'est généralement dans ces conditions que je roule le mieux.
Magicshine : Si on vous demandait de recommander trois destinations ou itinéraires cyclables, lesquels recommanderiez-vous ? Pourquoi ?
Alexandre :
Alexandre : C’est une bonne question. J’ai vécu de nombreux moments mémorables au fil des ans. Le plus mémorable est probablement l’un de mes premiers, lors de la descente d’Accous dans le sud-ouest de la France, à 14 ans. À l’époque, je n’avais qu’un vélo de Dirt Jumper que j’avais modifié. J’y avais ajouté un frein à disque avant, des pneus de descente et une fourche pneumatique Marzocchi DJ 2 pour pouvoir réduire la pression en descente.
Il a plu tout le week-end. La terre dans cette région de France est tellement glissante quand elle est mouillée, et la piste était complètement défoncée. C'était un défi incroyablement amusant, surtout sur un vélo de DJ. Seul problème : je n'avais pas assez de dégagement au cadre lorsque mon pneu arrière était plein de boue. Je devais m'arrêter pour le nettoyer toutes les deux ou trois minutes pendant l'entraînement. La seule solution que j'ai trouvée : voler le pneu arrière du vélo de ma mère, un Schwalbe Marathon en largeur 1,75. Avantages : il laissait suffisamment de place pour dégager la terre et ne pas rester coincé. Inconvénients : aucune adhérence sur la plupart des dévers graisseux de la piste Accoud DH. Ma course s'est terminée en catastrophe. Aucune adhérence. Nombreuses chutes, dont une sortie de piste épique dans le dernier jardin de rocailles devant une foule en liesse. C'est un souvenir tellement pénible. Je suis reconnaissant de rouler sur des VTT tout suspendus maintenant !
Magicshine : Comment vous préparez-vous pour une grande course ou une randonnée difficile ?
Alexandre : Je suis généralement assez détendu pour préparer ce genre de sorties. Faire confiance au processus et me laisser porter par le courant est mon principe de base. Bien sûr, il est important de s'assurer que mon vélo fonctionne bien. Mais c'est souvent le cas, même lors de sorties plus occasionnelles. Mentalement, cette approche me permet de rouler l'esprit clair, concentré et de prendre du plaisir sur le vélo. C'est généralement dans ces conditions que je roule le mieux.
Magicshine : Si on vous demandait de recommander trois destinations ou itinéraires cyclables, lesquels recommanderiez-vous ? Pourquoi ?
Alexandre :
- North Vancouver, Colombie-Britannique, Canada : la variété des sentiers, les forêts denses, le fait que toute la ville soit entièrement vouée au VTT. J'adore.
- Kamloops, Canada : pentes raides pour le freeride, pistes rapides et sèches, sauts impressionnants. Cette ville offre des pistes de ski parmi les plus agréables.
- Morzine, France : le berceau des sentiers les plus raides et une partie d'un immense réseau de sentiers appelé les Portes du Soleil. Cet endroit est irréel.

3. Défis passés
Magicshine : Quels défis de vie ou physiques avez-vous rencontrés lors de vos précédents voyages à vélo, et comment les avez-vous surmontés ?
Alexandre : Les blessures sont relativement fréquentes. J'ai en moyenne deux grosses chutes par an. Les chutes font partie intégrante du sport VTT. Il est important d'aborder la question avec la bonne approche.
Roulez vite et ne vous lancez que lorsque vous vous sentez bien. Prendre en compte et analyser tous les paramètres fait partie du processus. Si quelque chose ne va pas, mentalement, mécaniquement ou sur le sentier, il est important de se rappeler qu'il y aura toujours un autre jour. Nous sommes là pour nous amuser et continuer à rouler, aussi longtemps que possible. Avoir une approche calculée du niveau de risque est important pour moi. Après une chute, prendre le temps de reprendre confiance est également essentiel.
Alexandre : Les blessures sont relativement fréquentes. J'ai en moyenne deux grosses chutes par an. Les chutes font partie intégrante du sport VTT. Il est important d'aborder la question avec la bonne approche.
Roulez vite et ne vous lancez que lorsque vous vous sentez bien. Prendre en compte et analyser tous les paramètres fait partie du processus. Si quelque chose ne va pas, mentalement, mécaniquement ou sur le sentier, il est important de se rappeler qu'il y aura toujours un autre jour. Nous sommes là pour nous amuser et continuer à rouler, aussi longtemps que possible. Avoir une approche calculée du niveau de risque est important pour moi. Après une chute, prendre le temps de reprendre confiance est également essentiel.

4. Équipement et sécurité du cyclisme
Magicshine : Quel type/marque de vélo préférez-vous ? Qu'est-ce qui vous a poussé à le choisir ?
Alexandre : Je suis sur des vélos Devinci depuis un an et je suis ravi. Ces vélos sont fabriqués et conçus avec passion, et ça se voit. Ils sont canadiens et beaucoup de leurs cadres sont fabriqués directement à Chicoutimi, au Québec. Toute l'équipe est animée par la même passion pour le vélo, ce qui est formidable.
Magicshine : Avez-vous des conseils à donner aux cyclistes pour choisir l'éclairage qui leur convient ? Quelles caractéristiques sont selon vous essentielles ?
Alexandre : L'éclairage de vélo est essentiel. Sur mon vélo gravel, quand je suis à proximité de voitures, j'ai un feu arrière clignotant sur ma tige de selle, pour plus de sécurité. Le SEEMEE 300 est mon préféré.
En matière d'éclairage avant, tout dépend de la puissance recherchée et de la durée de la sortie. Sur mon VTT, je recherche la lumière la plus intense possible. À North Vancouver, les conditions techniques deviennent vite difficiles, et le Magicshine MONTEER 12000 a révolutionné le domaine. Associé à un casque Ray 2600B, c'est de loin la meilleure combinaison que j'aie jamais essayée. Les batteries ont une autonomie tellement longue qu'on n'a jamais à se soucier de leur autonomie.
Magicshine : Lorsque vous roulez, quel équipement utilisez-vous pour prendre de bonnes photos et vidéos ?
Alexandre : Mon iPhone est l'un des appareils que j'utilise le plus. J'ai actuellement un iPhone 13 Pro.
Les caméras d'action sont mon autre choix. J'utilise souvent la GoPro Max, une caméra 360° idéale pour une utilisation verticale. Le reste du temps, pour filmer horizontalement, j'utilise une DJI Osmo Action 4 ou une GoPro 12.
Magicshine : Pour vous actuellement, pour assurer la sécurité à vélo, quelles préparations allez-vous faire en termes d'équipement cycliste ?
Alexandre : Vérifiez régulièrement la boulonnerie. Ce processus de 3 minutes peut changer la donne. Concentrez-vous sur les pièces essentielles : potence, guidon, roues, axes, freins. Vérifiez ensuite également la boulonnerie du cadre, les manivelles et les poignées.
La pression des pneus est également essentielle. Il est important de s'assurer que la pression est adaptée au type de terrain et aux conditions. Cela vous donnera un meilleur contrôle et limitera les risques de crevaison.
Lubrifiez régulièrement votre chaîne : elle assurera un changement de vitesse fluide, prolongera la durée de vie de votre transmission et préservera le silence de votre vélo. Évitez cependant de l'utiliser avec un excès de lubrifiant, car elle risque de s'encrasser et de perdre en performances et en longévité.
Magicshine : Dans quelles situations utilisez-vous des éclairages de vélo ? Parlez-nous de votre compréhension du fonctionnement des éclairages de vélo à vélo.
Alexandre : Ma principale utilité est ma sécurité en ville. Un éclairage compact, installé à la fois sur le guidon et sur la tige de selle, est essentiel. Bien voir est important, mais être vu en ville est vital.
Sur mon VTT, tout est question de bonne visibilité. Les sorties nocturnes sont vraiment spéciales. Rouler de nuit, c'est super sympa. C'est un excellent moyen de rouler plus souvent pendant ces journées d'hiver plus courtes, ça change tout.
Alexandre : Je suis sur des vélos Devinci depuis un an et je suis ravi. Ces vélos sont fabriqués et conçus avec passion, et ça se voit. Ils sont canadiens et beaucoup de leurs cadres sont fabriqués directement à Chicoutimi, au Québec. Toute l'équipe est animée par la même passion pour le vélo, ce qui est formidable.
Magicshine : Avez-vous des conseils à donner aux cyclistes pour choisir l'éclairage qui leur convient ? Quelles caractéristiques sont selon vous essentielles ?
Alexandre : L'éclairage de vélo est essentiel. Sur mon vélo gravel, quand je suis à proximité de voitures, j'ai un feu arrière clignotant sur ma tige de selle, pour plus de sécurité. Le SEEMEE 300 est mon préféré.
En matière d'éclairage avant, tout dépend de la puissance recherchée et de la durée de la sortie. Sur mon VTT, je recherche la lumière la plus intense possible. À North Vancouver, les conditions techniques deviennent vite difficiles, et le Magicshine MONTEER 12000 a révolutionné le domaine. Associé à un casque Ray 2600B, c'est de loin la meilleure combinaison que j'aie jamais essayée. Les batteries ont une autonomie tellement longue qu'on n'a jamais à se soucier de leur autonomie.


Magicshine : Lorsque vous roulez, quel équipement utilisez-vous pour prendre de bonnes photos et vidéos ?
Alexandre : Mon iPhone est l'un des appareils que j'utilise le plus. J'ai actuellement un iPhone 13 Pro.
Les caméras d'action sont mon autre choix. J'utilise souvent la GoPro Max, une caméra 360° idéale pour une utilisation verticale. Le reste du temps, pour filmer horizontalement, j'utilise une DJI Osmo Action 4 ou une GoPro 12.
Magicshine : Pour vous actuellement, pour assurer la sécurité à vélo, quelles préparations allez-vous faire en termes d'équipement cycliste ?
Alexandre : Vérifiez régulièrement la boulonnerie. Ce processus de 3 minutes peut changer la donne. Concentrez-vous sur les pièces essentielles : potence, guidon, roues, axes, freins. Vérifiez ensuite également la boulonnerie du cadre, les manivelles et les poignées.
La pression des pneus est également essentielle. Il est important de s'assurer que la pression est adaptée au type de terrain et aux conditions. Cela vous donnera un meilleur contrôle et limitera les risques de crevaison.
Lubrifiez régulièrement votre chaîne : elle assurera un changement de vitesse fluide, prolongera la durée de vie de votre transmission et préservera le silence de votre vélo. Évitez cependant de l'utiliser avec un excès de lubrifiant, car elle risque de s'encrasser et de perdre en performances et en longévité.
Magicshine : Dans quelles situations utilisez-vous des éclairages de vélo ? Parlez-nous de votre compréhension du fonctionnement des éclairages de vélo à vélo.
Alexandre : Ma principale utilité est ma sécurité en ville. Un éclairage compact, installé à la fois sur le guidon et sur la tige de selle, est essentiel. Bien voir est important, mais être vu en ville est vital.
Sur mon VTT, tout est question de bonne visibilité. Les sorties nocturnes sont vraiment spéciales. Rouler de nuit, c'est super sympa. C'est un excellent moyen de rouler plus souvent pendant ces journées d'hiver plus courtes, ça change tout.

5. Conseils pour les débutants
Magicshine : Quels conseils donneriez-vous à quelqu'un qui débute en VTT ?
Alexandre : Passe du temps sur ton vélo et continue à rouler ! Ne te focalise pas trop sur ton équipement. Amuse-toi simplement. Passer des heures sur ton vélo te rendra meilleur.
Magicshine : Quelles sont, selon vous, les erreurs les plus courantes commises par les débutants ?
Alexandre : Probablement trop tendu. Il faut solliciter le tronc tout en restant détendu. En descente, gardez les talons au sol, les coudes en avant, et observez le terrain en regardant loin devant.
Alexandre : Passe du temps sur ton vélo et continue à rouler ! Ne te focalise pas trop sur ton équipement. Amuse-toi simplement. Passer des heures sur ton vélo te rendra meilleur.
Magicshine : Quelles sont, selon vous, les erreurs les plus courantes commises par les débutants ?
Alexandre : Probablement trop tendu. Il faut solliciter le tronc tout en restant détendu. En descente, gardez les talons au sol, les coudes en avant, et observez le terrain en regardant loin devant.


6. Objectifs futurs
Magicshine : Quels sont vos objectifs pour les événements à venir ou pour votre carrière de VTT ?
Alexandre : Mon objectif est de continuer à m'amuser en créant du contenu vélo, de parcourir des endroits incroyables et de partager ces expériences avec les autres. La communauté du VTT est unique. Je veux que les choses restent amusantes et accessibles à tous ceux qui souhaitent s'initier à ce sport.
Magicshine : Comment voyez-vous le développement du sport dans le futur ?
Alexandre : Je vois le vélo toucher de plus en plus de monde. En tant que sport, oui. Mais aussi comme moyen de transport. Dans toutes les catégories, les vélos deviennent plus rapides, plus confortables et plus fiables. Pouvoir prendre son vélo plutôt que sa voiture est un atout majeur. C’est là que les vélos électriques sont vraiment intéressants.
Alexandre : Mon objectif est de continuer à m'amuser en créant du contenu vélo, de parcourir des endroits incroyables et de partager ces expériences avec les autres. La communauté du VTT est unique. Je veux que les choses restent amusantes et accessibles à tous ceux qui souhaitent s'initier à ce sport.

Alexandre : Je vois le vélo toucher de plus en plus de monde. En tant que sport, oui. Mais aussi comme moyen de transport. Dans toutes les catégories, les vélos deviennent plus rapides, plus confortables et plus fiables. Pouvoir prendre son vélo plutôt que sa voiture est un atout majeur. C’est là que les vélos électriques sont vraiment intéressants.

7. Impact
Magicshine : Quel rôle pensez-vous que jouent des marques comme Magicshine dans l'amélioration de l'expérience du VTT, et en tant qu'ambassadeur de la marque MS, quels conseils donneriez-vous à Magicshine ?
Alexandre : Magicshine joue un rôle essentiel dans la sécurité et l'expérience cycliste. Un système d'éclairage de qualité et durable est essentiel. Je suis convaincu qu'il faut acheter un produit une fois pour toutes, et les éclairages MS répondent à cette exigence. La qualité de fabrication et la technologie de ces éclairages sont impressionnantes.
En tant qu'ambassadeur de la marque, je dirais à MS de continuer à proposer des produits de haute qualité, axés sur le cycliste et abordables.
Alexandre : Magicshine joue un rôle essentiel dans la sécurité et l'expérience cycliste. Un système d'éclairage de qualité et durable est essentiel. Je suis convaincu qu'il faut acheter un produit une fois pour toutes, et les éclairages MS répondent à cette exigence. La qualité de fabrication et la technologie de ces éclairages sont impressionnantes.
En tant qu'ambassadeur de la marque, je dirais à MS de continuer à proposer des produits de haute qualité, axés sur le cycliste et abordables.
0 commentaires